Z'inquiétez point, ça va reviendre.
Et ce promis avant les calendes grecques, avant les hirondelles, avant la fonte des glaces, avant 2012, ma mémoire enchantée sera complétée, rajoutée, amplifiée, cacophoniquée, oui c'est promis. J'ai du marquer une pause pour deux raisons qui se valent plus ou moins sur le terrain du placement dessus l'échelle des excuses un tantinet foireuses, mais néanmoins viables sur le moyen terme !
Le première excuse tirée par les poils marrons noirs du centre du motif du haut de la cuisse droite de la girafe, c'est que je me suis absenté trois semaines, loin de l'internet pour vacancer, reposer, bref dépenser mes points paresses accumulés depuis un tiers de siècle (faut dire que j'ai un crédit paresse illimité, alors forcément j'abuse de tout ces petits rien additionés qui forment un grand souffle comme un ronflement dans le sommeil de l'activité !) avec beaucoup d'application (repas gargantuesque, vin délicat, sieste copieuse, je me suis même fait aggresser un soir par une bouteille de Talisker et un magnum de Jacoulot !), ce qui demande un talent certain, vous en conviendrez, pour ne jamais se laisser aller à penser à la moindre petite chose qui rime avec le mot "travail".
La deuxième excuse tirée par les cheveux blond de la Vénus de Botticcelli un soir d'hiver noyé dans sa baignoire en coquillage, c'est que j'aimerai avancer un peu les enrregistrements des chansons avant de reprendre la rédaction des mémoires. Ce qui va me prendre un temps certain, d'avance je m'en excuse, d'autant plus que parallélement j'aimerai essayer d'écrire des chansons nouvelles estampillées 2010.
Voilà voilà, mais si tout va bien on devrait se retrouver bientôt de nouveau en 1990... putain vingt ans !
Ah et aussi belle année 2010 comme on dit !
A très vite.
B+
Le première excuse tirée par les poils marrons noirs du centre du motif du haut de la cuisse droite de la girafe, c'est que je me suis absenté trois semaines, loin de l'internet pour vacancer, reposer, bref dépenser mes points paresses accumulés depuis un tiers de siècle (faut dire que j'ai un crédit paresse illimité, alors forcément j'abuse de tout ces petits rien additionés qui forment un grand souffle comme un ronflement dans le sommeil de l'activité !) avec beaucoup d'application (repas gargantuesque, vin délicat, sieste copieuse, je me suis même fait aggresser un soir par une bouteille de Talisker et un magnum de Jacoulot !), ce qui demande un talent certain, vous en conviendrez, pour ne jamais se laisser aller à penser à la moindre petite chose qui rime avec le mot "travail".
La deuxième excuse tirée par les cheveux blond de la Vénus de Botticcelli un soir d'hiver noyé dans sa baignoire en coquillage, c'est que j'aimerai avancer un peu les enrregistrements des chansons avant de reprendre la rédaction des mémoires. Ce qui va me prendre un temps certain, d'avance je m'en excuse, d'autant plus que parallélement j'aimerai essayer d'écrire des chansons nouvelles estampillées 2010.
Voilà voilà, mais si tout va bien on devrait se retrouver bientôt de nouveau en 1990... putain vingt ans !
Ah et aussi belle année 2010 comme on dit !
A très vite.
B+